Never say never dude ! Ce que mon désir brave, il le conquiert !

C’est ce que je me suis dis en me levant ! Stoooooop ! Je me suis dis cela face à mon miroir entre deux coups de crayon khôl ! Jusqu’à quand vais-je ne pas réagir ?

Bordel, il s’agît quand même de ce que je veux le plus en ce moment … et je suis là comme une grosse limace dans mon lit en train de regarder le spectacle se faire sous mes yeux.

Hier soir et depuis deux trois soirs, je me suis demandée si au final il n’avait vraiment pas renoncer et avait tourné la page.

J’étais partagée entre la dernière et avant dernière phrase qu’il m’a dit.

L’avant dernière phrase «  Hermance, tu veux oui ou non continuer ? Moi je veux plus que ce qu’on a pu être l’an dernier parce que tu sais que j’aime être avec toi mais en même temps je ne veux pas non plus qu’on tombe dans une relation sérieuse, j’avais peur que tu te mette une balle dans la tête si je te le disais, oui. Je l’avoue.   »

Last phrase  » Ok tu sais quoi ? tu veux que je te parle comme si je parlais à un pote ? tu sais qu’avec le ton que tu emplois et comme tu dis c’est bon j’en ai ras-le-cul, c’est terminé !!!  »

BIP BIP BIP

Il faut savoir qu’entre les deux je l’ai énervé prise panique, voyant la réalité devant moi, j’ai préféré partir dans des rhétoriques sans vraiment lui dire ce pour quoi j’écris depuis bientôt six moi !

Partagé entre ces deux phrases, j’ai des périodes séparées de cinq minutes où je me dis  » si il a dit ça et même après avoir été en colère, il me suffit de me la jouer en finesse et en délicatesse pour rebattre les cartes  »

Oui mais alors cinq minutes plus tard  » il est si catégorique comme mec et si ce n’était qu’un prétexte ? Et si à notre RDV manqué sur les Quais de Seine, il voulait me le dire …  »

Bientôt un mois, Mardi prochain et je crève quand je le vois sur facebook comme si de rien n’était .. Et ma nouvelle obsession c’est de trouver ma remplaçante. Oui !

Il est dans une nouvelle section, une super chère école privée et je me dis que ça grouille de gazelles comme je le lui avais prédis l’an dernier !

Et j’ai le pressentiment d’avoir trouvé la nouvelle élue.

Elle ressemble à une princesse des milles et une nuits avec de longs cheveux bruns et sophistiqués et bouclés !

Elle vient de Rabat et a un teint basané. Son facebook est bien protégé donc je ne peux voir que cela. Elle n’a pas de photo de profil style mannequin je me la pète graaaaave  mais mon cœur se serre.

Deux photos de lui qu’elle aime, dont l’une qu’elle commente avec le même style d’écriture.

Vous savez ces gens qui écrivent  » Nn » au lieu de NOOOOOOOOON. Ça me saoule tellement ça !

Est-ce ma nouvelle rivale ?

Pour qu’elle soit ta rivale ma jolie faudrait que tu sois encore dans le game !

SHADE UP CONSCIENCE !

Ma déesse intérieure me dit qu’on a encore toutes les chances de notre côté quoi ! Why ?

Demain, je file chez la coiffeuse, puis chez l’esthéticienne. Comme dit ma thérapeute coach ( dont je vous ferais un nouvel article ) FACEBOOK EST VOTRE NOUVELLE MEILLEURE AMIE !

« AFFICHEZ-VOUS, il vous verra et plus vous êtes canon plus il aura quelques regrets à se dire que c’est con que se soit terminé ainsi. Il vous l’a dit, vous êtes différente mais prenez-le au mot bordel  »

Elle a raison. Les hommes sont si basiques après tout.

«  ne soyez pas de celle qui pensent que les hommes ont une psychologie différente de la notre, par pitié.  »

DU TOUUUUUT ! J’écris juste un blog sur ça mais bon.

Puis la phase manipulation doit être la suivante. Je vois vendredi soir une amie en commun. La seule. Celle qui ne connaît rien à notre histoire mais qui pourrait être mon ticket d’entrée.

Oui je suis digne d’une Bree Van de Kamp 🙂

Cela jouer fine c’est ce qu’il me faut.

C’est la phase de la reconquête. Elle est lancée, le compte à rebours vient de de débuter.

C’est en lisant 50 nuances de Grey que j’ai compris ce qu’il fallait capter. Si seulement j’avais lu ce livre mielleux avant !

On doit toujours partir du principe qu’une personne change d’avais. Il suffit juste d’aller dans le même sens, c’est tout.

NEVER SAY NEVER DUDE !

VOTEZZZZZZZZZ : http://www.golden-blog-awards.fr/blogs/callmehermance.html

Episode 7 : A chaque temps son plaisir ! (1/2)

Y avait plus de nouvelles d’Hermance ? Me revoilà !

Et pour de nouvelles aventures avec Mr de Rothschild !

La saison 1 a été caboteuse, longue et rythmée !

Mais le final, il est, il est, il est .. Ah vous crevez d’envie de le savoir n’est-ce pas ?

J’ai été loin en ce Vendredi 21 de penser que nous nous reverrions.

Enfin, pour dire vrai j’avais pensé voir prévu un petit plan mais de là à ce que ca se réalise, la frontière était grande ! Ça se dit ?

Bwef, alors que ma soirée commençait mal, dispute téléphonique avec mon padre, je me disais face à mon miroir qu’il fallait que je sorte et que rien ne m’y empêcherait !

Enfin, ma touffe quand même !

Bah oui, cut cut cut ! Toute propre, j’étais prête à danser au bon vouloir des vibrations de la musique.

Mes deux complotrices de meilleure amie sous le bras et on était prêtes à manger la ville .

Lumières, lumières, révèle la ville et montre nous le chemin de notre destinée.

Pendant qu’elles révisaient leurs classiques Disney, on rentrait dans de chaudes et bruillantes ruelles, où toutes les générations s’y mêlaient.

Dans ma jupe crayon noire près du corps, je déhambulais.

Très vite, une musique électro nous attirait mes amies et moi et nous melions à la petite foule qui gravitait autour des Disk-Jockey.

Et comme dans toutes fêtes de la musique se respectant vous finissez toujours par perdre vos amis dans la foule. Je n’avais pas mon téléphone, resté dans le sac d’une amie.

Faut que j’avoue avoir envoyé un message à Mr de Rothschild.

Oui, bon je n’ai rien envoyer de chaud.
Je lui ai demandé juste si il aurait au moins 5 minutes pour moi pendant cette soirée ? J’avais entendu Mr dire que par pur tradition de ses années folles il devait se mettre minable, je cite, donc par pur curiosité je tenais à savoir si il aurait voulu qu’on se capte un peu.

Alors je vous arrête car non je ne lui courais pas après sachez qu’en faisant cela, c’est lui qui a demandé à me voir après. Bon, alors c’est qui la patronne ? Rien de calculé, tout est arrivé comme au fond je le souhaitais.

Comme à son habitude, il avait répondu sèchement un « oui » plat.
En même temps que voulais-je ? Un « oui » avec plein de points d’exclamation ? Ridicule non ?

Je n’avais rien répondu sur le coup et ni après. Quand j’envoyais cela, je voulais me rassurer, me dire qu’après 6 mois de non relation, de silence, de moments fougeux chargés de tensions sexuelle, après tout ce que chacun a pu vivre avec d’autres personnes.

Tous les deux, on était encore peut-être là à se désirer.

Alors après une heure à se chercher, on avait fini par se retrouver entre amies. Elles avaient commencer sans moi, à descendre Madame Margherita.

Mr Muscador ne m’avait pas tenté, alors que je m’apretais à leur passer un savon, ma coupine V m’informa que fort d’avoir trop bu son petit ami se retrouver chez Mr de Rothschild qui s’était proposé pour le garder chez lui.

Un bon Samaritain ? Sur le coup, effectivement.

Elle m’avait regardé avec de grands yeux inquiets mais lumineux.

Peu après, une autre amie avat recu un coup de fil. Elle vint vers moi et me le tendit.

C’était Mr de Rothschild.

J’avais pris le téléphone sceptique et surprise.

 » Allô  » avais-je dis ( normal quoi )

Au bout du téléphone, il avait une voix grave ou suave je ne sais plus.

Mais faisons une pause. Faut dire que j’ai remarqué que lorsqu’il s’adressait à moi, sa voix était plus grave dans les tons que quand il parlait à d’autres personnes.

Peut-être avait-il deviné qu’avec un caractère comme le mien, il fallait une voix de la sorte pour me calmer ?

Devinait-il que cela m’intimider ?

Mr de Rothschild m’avait demandé ma position, et de ne pas bouger d’un iota. Qu’il arrivait vite.

Alors que mes guuuuuuuurls s’apprêtaient à bouger, je décidais de l’attendre.

Après tout, nous rejoindrons les filles ensuite, non ?

15 minutes plus tard, je le vis en train de me chercher des yeux. Je courais vers lui et le pris par la manche de son teddy bleu nuit aux manches blanches en cuir.

Quand il se retournait, je lui fis la réflexion de son « j’arrive très vite », n’était pas très respecté.
Ses grands yeux bleus remplis de malice me regardait face to face et il me dit essouflé  » j’ai tout remonté tout ca pour toi  »

Je ne répondis rien. Je me retournai pour descendre une rue en pente.

Mais il m’avait prise par les hanches.

Première décharge électrique dans mon corps.

Faisant la fière, je le repoussai en prétextant qu’on pourrait nous voir.

En souriant, il avait répondu  » mais qui ? On connaît personne, on s’en fiche des gens  »

Je voulais redescendre et rejoindre mes amies mais très vite, il revint à la charge en me proposant de nous asseoir sur le muret près de nous sertit de roses.

Je le suivis et quand l’un près de l’autre, côte à côte, je regardais en face de moi et lui était tourné vers moi et me regardait en cherchant mon regard.

Mon regard fuyant qui ne se plonge que lorsque que la confiance en l’autre ne fait plus aucun doute.

Cela le faisait sourire, mais rapidement il me cherchait.

Mes mains, mes hanches.

Consciente, que lui avait bu. Je me méfiais.

Comment le prendre au sérieux ou être détendue quand je le savais sous l’emprise de l’alcool ?

N’avait-pas trop d’histoires qui content que les hommes ne se souviennent de rien après avoir bu ?

N’y-a-t-il pas d’autres gens qui vous assurent que l’alcool délient les langues des plus silencieux ?

Alors que je le repoussai péniblement, il revenait à la charge. Il répétait deux formules incessamment

 » Regarde-moi dans les yeux  » ou une autre variante  » Embrasse-moi  »

« Non, tu as bu !  »  » Non, ça va je veux pas de gêne après  »

« Mais oui, j’ai bu ! Mais si tu savais comme je suis lucide, regarde-moi dans les yeux, je te dis  »

Je l’avais alors fixé. « Je te vois enfin » avait-il dit

Puis j’avais eu droit  » Tu peux arrêter de faire ta meuf deux secondes ? Pour une fois qu’on est que tous les deux et qu’on peut parler  »

A mon tour, tout ce que je voulais lui dire je l’ai fais.

 » Et toi, arrête de me prendre pour un jambon ? Tu n’es qu’un menteur et je sais des trucs parce que merde tu me mens  »

 » Moi, je te mens ? Mais dis-moi en quoi je te mens  »

Très vite, je montai sur mes grands chevaux.
Certaines choses avaient été niés, d’autres pas.

 » Je n’ai peut-etre aucune conversation par texto, mais avec toi je veux parler réellement  »

A cela, j’avais fais une moue.
 » Je veux toujours te revoir l’an prochain, c’est à toi de me dire si tu veux me revoir  »

 » Mais je sais pas, ça te va ?  »

 » Non, c’est oui ou non  »

Remplis de malice, ses yeux m’avait tiré un  » oui  » mais saupoudré d’un  » je n’enverrais pas de texto, tu as juqu’au 31 aout. Après cela c’est mort.  »

Et malicieux comme il peut l’être, il avat ajouté  » alors, je t’enverrais un message le 1er septembre  »

 » Je suis entouré de connes, et j’en peux plus. Je veux une fille de gauche, renoi, loin d’etre conne  » je cite. Renoi ? On parle comme ça dans le 8e maintenant ?

Cette réplique je l’avais tant attendu, tant imaginé en période de doutes et de déprime, que quand il l’a sorti je me perdis dans un océan de pensées.
Puis il me vola un baiser. Et me renversa sur le muret à plat.

M’embrassant.

Mains baladeuses, sourire en coin que j’aperçus car son visage était éclairé d’un lampadaire aux rayons chauds et dorés.
 » Mes cheveux sont dans des ronces mais je m’en fous  »

« Arrête de m’embrasser, tu pues l’alcool  » lui dis-je
Et il remettait une couche en m’embrassant davantage.

«  Je pues aussi la cigarette, alors ? »

Ma bouche, quelle soumise alors !

Révoltée qui se permette de me caresser le popotin, je pestai  » Je ne t’ai guère autorisé à me toucher le cul, non mais merde !  »

A cela plein de désinvolte mais sérieux il répondit  » Et pourtant je le fais « 
Quand après lui avoir demandé moult fois de se pousser pour que je me relève, nous étions dévisagés mais d’un regard amusé, par une petite bandes de jeun’s’, à peine quinze ans.

Alors en femme de caractère en me recoiffant, je lui fis haut et fort  » et en plus tu plote devant tout le monde, t’abuse ! Allez viens, on descend  »

Je l’entendis me rattraper et sa main effleurer ma hanche.

Mais en descendant, il avait croisé une de ses amies qui lui dit en aboyant  » Mais enfin qu’est-ce que tu fous ? Je t’ai appelé au moins 10 fois  »

C’est bête.

Elle rentrait alors, il raccompagnait en gentleman jusqu’à son arrêt.

« Garde ton portable près de toi, je t’appelle et décroche » m’avait-il lancé avant de partir

J’en étais retournée.

Quand une heure plus tard, j’appris que nous ( mes gurls+ moi ) étions conviés chez lui.

Mes gurls avaient le sourire aux lèvres, elles qui attendaient de voir comment devant elles nous allions nous comporter ?

V allait-elle retrouver son petit copain fort trop alcoolisée et moi .. ?

Avait-il assez redescendu ?

Et surtout, jusqu’où irons-nous ?

Réponse dans la partie 2 !